« Par beau temps pleure, sirène,... »

par Paul Gonze

... et chante dans la tempête ...

aussi enchanteresse que le ressac de la houle, le murmure des vagues, le chuintement de la plage entre les récifs

aspirant l'écume aussi goûlument que si coquillages fracassés et squelettes disloqués y saignaient à jamais

Petit bateau de papier doré, perruque et buccin bidouillé pour l'exposition "M" en avril 2025 (40 x 15 x 20 cm)

Fantaisie homérique, ulyséenne dont la danse dans la berce des vagues est à mettre en résonance avec ce monstre des abymes et cet extrait de "La chevelure" de Charles Baudelaire.

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