«Âme fragile 2»

par Olivier-John Guilmain - En réponse à la contribution de Michel Loriaux : CHU Charleroi

Ici, quelques lésions, elles-mêmes fragiles, qui parcourent je ne sais quel organe de mon corps. Si on veut bien y croire, on pourrait voir dans ces vaisseaux abîmés par le temps, une beauté rageuse, un questionnement ouvert sur toutes les temporalités et la vie.  Comme tous ceux qui l’ignorent encore j’ai mal, mal de cette fragilité humaine quantique, diffuse et qui toujours s’échappe de ma volonté. 

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